Les émeutes et les pertes tragiques : la responsabilité de l’opposition sénégalaise et de certains activistes

La scène politique sénégalaise a été marquée par des accusations et des critiques à l’encontre du président Macky Sall, le qualifiant de dictateur, de partisan des droits des homosexuels et d’aspirant à un troisième mandat présidentiel. Cependant, les faits révèlent une réalité différente. 

En effet, Macky Sall a clairement déclaré lors de son discours du 03 juillet qu’il ne se présenterait pas à un troisième mandat présidentiel, confirmant ainsi sa position constante sur cette question. Malgré cette affirmation sans équivoque, une bonne partie de l’opposition continue de propager des rumeurs infondées à son sujet. Il est temps de se demander quelles sont leurs motivations réelles.

Macky Sall a toujours été un défenseur de la démocratie sénégalaise. Depuis son accession au pouvoir, il a travaillé à renforcer les institutions démocratiques, à promouvoir la transparence électorale et à garantir la participation citoyenne. Son administration a mis en place des réformes pour améliorer la gouvernance et promouvoir l’état de droit.

Sur la scène internationale, Macky Sall a hissé la diplomatie sénégalaise à un niveau supérieur. Son leadership régional, notamment au sein de l’Union africaine et de la CEDEAO, a permis de renforcer la coopération régionale, de résoudre les conflits et de promouvoir le développement économique. Sa réputation en tant que leader respecté a fait rayonner le Sénégal sur la scène mondiale.

Par ailleurs, contrairement aux allégations de l’opposition et de certains activistes, Macky Sall entretient des relations étroites et harmonieuses avec les chefs religieux du pays. Ces leaders religieux apprécient son respect de la diversité religieuse et sa volonté de travailler en collaboration avec eux pour promouvoir la paix sociale et le bien-être de la population. Leur soutien témoigne de la confiance qu’ils accordent au président Sall.

Il  est donc essentiel de faire preuve de discernement face aux promesses utopiques formulées par les opposants politiques. A mon avis, ils devraient tous répondre devant la justice pour avoir calomnié une digne personne et ainsi entraîné des pertes en vie humaine. Un autre exemple, c’est celui  d’Ousmane Sonko, qui se présente comme un homme intègre. N’est-il pas légitime de se demander sur quels critères repose cette affirmation, étant donné que son parcours ne comprend pas de postes de gestion significatifs impliquant une responsabilité financière. Il n’a même jamais même une ASC.  Cette lacune soulève des doutes quant à ses compétences et à sa crédibilité en tant que leader politique. De plus, la question de sa fortune personnelle se pose légitimement. N’est-ce pas lui qui, lors d’une conférence de presse, a déclaré qu’il n’était pas riche? Il est important de clarifier ces points pour mieux évaluer son intégrité et sa transparence en tant que personnage politique.

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