Réflexions sur la fin imminente d’Ousmane Sonko et son discours provocateur

Le Fanfaron a encore ouvert sa grande gueule cette nuit du 2 juillet, sachant pertinemment qu’il est proche d’une incarcération à Kédougou ou à Tamba et conscient que de nouvelles charges pèseront après contre lui, liés aux éléments de preuve trouvés sur ses appareils, entraînant une condamnation à perpétuité. Son appel à l’insurrection semble être un acte futile compte tenu de sa situation. En outre, Sonko utilise la technique de déformation des propos pour atteindre ses objectifs, ce qui risque de coûter la vie à de nombreux jeunes Sénégalais, malgré les promesses fallacieuses de paradis qu’il leur fait miroiter. Je suis préoccupé par la facilité avec laquelle ces jeunes sont trompés et aveuglément entraînés dans ce piège. Il est malheureux de constater que Sonko exploite cette vulnérabilité à sa guise, d’où sa phrase tenue lors d’un de ses discours “vous êtes des jeunes partisans faciles à tromper”.

Un chef d’État n’a pas besoin de recourir à la violence pour régler ses différends, et il est clair que Sonko est réduit à l’impuissance, confiné chez lui et sous étroite surveillance. Il est malheureux de constater que ceux qui se rangent derrière lui ne semblent offrir que vulgarité et insultes comme arguments. Le titre de président de la république du Sénégal ne lui sera jamais accordé, même étant le premier à occuper le fauteuil de président des réseaux sociaux, il a été destitué en moins de trois ans.

On peut se demander quel degré d’importance le terroriste Sonko s’attribue, le faisant croire qu’il est majoritaire et indispensable dans ce Sénégal-ci, au point de traiter les Sénégalais qui ont compris son jeu d’ingrats. Cependant, la mort est inéluctable, même pour lui, et il devrait réfléchir à son sort devant Allah, compte tenu des erreurs qu’il a commises envers les Sénégalais et les jeunes depuis son entrée en politique. Il est crucial pour Ousmane Sonko de ne pas se laisser distraire par l’attachement d’une minorité de partisans endoctrinés, car la réalité demeure que la majorité des Sénégalais ne lui porte pas d’affection.

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